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Apprenez à dire non à vos collaborateurs

| 21 février 2017
Apprenez à dire non à vos collaborateurs

Pour dire oui, il faut savoir dire non. La citation de l’ancien chef d’État François Mitterrand est aujourd’hui devenue célèbre. Si elle est sujette à diverses interprétations, elle pose un principe essentiel de communication et souligne l’importance de la forme : pour affirmer il faut aussi pouvoir… infirmer. Une leçon fondamentale, notamment dans le cadre des relations humaines en entreprise, où la communication entre collaborateurs et/ou avec les supérieurs relève parfois du défi. Nombreux sont ceux, qui, devant un collègue envahissant ou tire-au-flanc, un supérieur trop laxiste ou trop exigeant, ne parviennent pas à poser des limites. Dans un souci de bien faire, il est en effet parfois difficile de s’imposer, au risque parfois de s’oublier.

« Dire oui à tout, c'est aussi se dire non à soi-même et risquer des situations de blocage », prévient Françoise Brigaud Morocque, cofondatrice du cabinet de conseil T-Ressources dans un article de Capital. Et pour résoudre ces couacs de communication, l’article propose plusieurs solutions pratiques telles que « la communication non violente » – théorisée par le psychologue américain Marshall B. Rosenberg et qui consiste à aborder un sujet en utilisant un argumentaire basé sur des faits. Il est également évoqué le « reproche dynamisant » – une dialectique privilégiant une approche « bienveillante et ferme à la fois ».

Autant de moyens et d’approches qui vous aideront à surmonter certaines situations complexes, telles que la clarification d’un rapport de force avec votre chef ou encore une négociation avec un client intransigeant. Et au risque de déplaire à l’ancien président de la République précédemment cité, vous trouverez également cinq techniques « pour dire non… sans vraiment le dire ».

Retrouvez l’ensemble de ces conseils sur Capital

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