Depuis juillet 2012, le 20 mars a été déclaré Journée mondiale du bonheur par l’ONU. Et puisqu'on parle de bonheur, pourquoi ne pas célébrer le bonheur au travail ? Des manifestations commencent à voir le jour un peu partout, réunissant des dirigeants et des DRH pour partager autour de ce sujet. Cette année, le premier Happy Day français se déroulera à Roubaix, le 17 mars prochain, avec entre autres invités Martin Meissonnier, réalisateur du documentaire Le bonheur au travail.

Laurence Vanhée, Chef Happiness Officer et organisatrice de cet évènement, nous explique dans cet article de Reboot Magazine sa vision du bien-être au travail : laisser les salariés choisir leur mode de travail. Partant du principe que les salariés prennent des décisions importantes concernant leur vie privée, pourquoi ne seraient-ils pas capables de prendre des décisions tout aussi responsables pour leur travail ? D’où l’idée de les laisser décider où, quand et comment ils souhaitent organiser leurs journées de travail. Et ainsi, laisser le libre choix à ceux qui préfèreront le télétravail ou des horaires aménagés par exemple.

L’équation idéale : liberté + responsabilité = bonheur + performance

S’il y a aujourd’hui une véritable prise de conscience des institutions, il y a encore du chemin à faire pour ancrer le bonheur au travail dans les mentalités. Cet Happy Day sera l’occasion de débattre, d’échanger sur les expériences et les pratiques des entreprises qui se sont déjà engagées et de réfléchir sur les actions à mener pour les autres. Et n’oubliez pas d’organiser un "Happy Lunch" le 18 ou le 21 mars  (le 20 mars tombant un dimanche) avec tous vos collaborateurs pour engager la discussion et souffler de la bonne humeur pour le reste de la journée !