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Le lean management, inspiration japonaise

| 26 janvier 2016
Le lean management, inspiration japonaise

L’arrivée de Slimane Reguig à la tête de l’entreprise Schaeffler a été marquée par un changement radical des méthodes de travail, empreint de culture japonaise. L’usine calaisienne maîtrisant parfaitement son produit, et ce depuis plus de 100 ans, son intervention s'est plus axée sur l’amélioration des conditions de travail des salariés que sur la production en elle-même.

Sa méthode ? Le lean management. Inspirée du management japonais, cette méthode a un objectif : zéro gaspillage. On pense bien sûr immédiatement au gaspillage de la matière première, mais cela concerne aussi le temps, l’énergie, les compétences… Tout est étudié, l’espace de travail, les distances entre l’outil et la main, les efforts ou le temps perdus, les talents gachés, etc.

Dans la mentalité japonaise, on considère qu’un gros problème est souvent causé par de multiples petits problèmes. On s’attache donc à les résoudre un par un. 

En évoquant le lean management, autrement appelé toyotisme, on pense bien évidemment au taylorisme ou au fordisme qui ont marqué à leur manière le management. Mais le toyotisme a cette particularité de mettre le capital humain au sein de l’expérience de production.

Pour en savoir plus sur l’expérience de Schaeffler et comprendre un peu mieux le lean management, rendez-vous sur Nord Littoral.

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